Sax34 a écrit : ↑16 sept. 2023 06:20
Un Dolnet, c'est une charrue, la justesse n'est pas toujours au rendez-vous et la qualité de conception et de fabrication n'est pas au top. C'est bien quand tu es prêt à assumer une conception ancienne, beau son.
Si tu ne veux pas être emmerdé tu prends un yamaha yts 275 ou 280, ou un 23, 25 ou 32 retamponné, vraie qualité de fabrication japonaise même si c'est sous traité pour les plus récents, dans les 1000 balles. Un jupiter récent c'est assez bien et un peu moins cher.
Apres un peu plus cher tu as yanagisawa.
Un sax récent c'est des tampons correct, une réfection c'est pas donné ,faut le savoir.
Ça fait une trentaine de ténor que j'ai eu entre les pattes et je suis revenu à yamaha pour ne plus avoir à m'occuper que de la musique.
Pour le "son" c'est en grande partie l'anche et le bec qui le font.
Pas de marques vintage

c'est compliqué à tous les niveaux
En vrai les Dolnets, sont géniaux et sont des ferrari de course de la justesse en comparaison avec mon vieux conn soprano courbé Wonder improved 1910,
Alors qu'elle est le soucis de mon vieux conn, bah l'ergonomie est bonne et même agréablement confortable, les sons sont doux et pas criards pour un soprano de base
Le soucis c'est quoi, bah il est faux et sonne faux
Et même ça c'est pas totalement vrai, il sonne juste mais il est juste pas accordé au diapason normale, c'est un high pitch, donc c'est juste ça le "problème" après il est rigolo à jouer je l'avoue
Bref, tous ça pour dire que non les Dolnets sont pas des catastrophes non plus, il y a mais tellement pire quand même,
Que les Dolnets, bah il y en a qui sonne super et super juste, et d'autre qui sont de vrai casseroles, avec une moyenne représentant une majorité
Que c'est dû à la fabrication fait mains, donc qualités aléatoires
que c'est du à l'ancienneté qui peut avoir bougé entre temps
Le tous additionné par des réparations ou entretiens fait par des amateurs ou inexpérimenté de la lutherie
Toutes façons, ne jamais acheté chez un particuliers sans voir le produit ni le tester, voilà,