michael brecker

[Menagex]

Fan absolu de Michael Brecker !
Notamment lorsqu'il était avec son frère Randy (Brecker Brothers). C'est peut-être la période la moins aimée de ceux qui ne l'apprécient pas trop...
Notamment son solo sur cet enregistrement de Some Skunk Funk (1:14 - 3:05). Ce que j'ai pu l'écouter !

[OLIVIERMOJOSAX]

Je ne voulais pas polémiquer.
Bien sur que c'est un grand musicien au delà de ses prouesses techniques !
C'est simplement que vu mon âge, j'ai vu et entendu tellement de ténors totalement influencés et l'imitant (parfois plutôt bien d'ailleurs) que ça en devenait pénible dans les années 80 à 2000.

Et effectivement dans certaines conditions et vers la fin de sa vie, la technique s'effaçait au profit d'une belle sensibilité et parfois de la sobriété.

[dexdex]

Je ne voulais pas polémiquer.
Bien sur que c'est un grand musicien au delà de ses prouesses techniques !
C'est simplement que vu mon âge, j'ai vu et entendu tellement de ténors totalement influencés et l'imitant (parfois plutôt bien d'ailleurs) que ça en devenait pénible dans les années 80 à 2000.

Et effectivement dans certaines conditions et vers la fin de sa vie, la technique s'effaçait au profit d'une belle sensibilité et parfois de la sobriété.

Je comprends. En ce qui me concerne, il y a eu un phénomène de décantation.

Les “clones” se sont essoufflés, la musique évolue, MB reste.

Le répertoire de Steps, repris par Bill Evans, sonne limite vulgaire. La magie de la nouveauté s’est usée, mais, surtout, l’incroyable musicalité de MB, elle, reste unique; une touche d’élégance qui manque à beaucoup de ses suiveurs.

Mon album préféré de MB est celui avec orgue Hammond B3, “Time is of the Essence”, digne descendants des albums Blue Note de Stanley Turrentine. Une musique apaisée.

J’ai connu le MB des premiers Brothers, j’étais à Montreux en 78 lors des concerts ayant conduit aux albums Blue Montreux. Choc. Cela été mon bizutage au jazz-rock.

Plus tard, 84 si je ne m’abuse (87 selon des sources fiables), même scène à Montreux, 3 vedettes du sax ténor, 3 sets l’un derrière l’autre: MB, Stan Getz et Dexter Gordon. Rien que ça. Et là je découvre un MB qui joue « My One and only Love », son quintet, plus jazz que jazz. Suivi d’un Getz désinvolte, limite désagréable, et d’un Gordon plus tout à fait sobre. Guess what ! MB est rentré dans la légende, la mienne, comme un des tous grands, celui qui reprenait le flambeau, et sur qui on allait compter. Comme si les 2 vétérans, eux, allaient tirer leur révérence.

Depuis ce moment, les « excès » démonstratifs de MB ne m’ont plus jamais obsédé. Il était un des grands. Point.

D’ailleurs, je suis toujours frappé par la pertinence de ses interventions sur les 100aines de sessions ou il ne fait qu’une brève apparition. Comme sur l’album de Kevin Mahogany ci-dessus.

[Elmore Trane]

J'étais présent à Montreux à la Tenor Night (Brecker - Getz - Gordon). C'était le 16 juillet 1987 :)

[dexdex]

J'étais présent à Montreux à la Tenor Night (Brecker - Getz - Gordon). C'était le 16 juillet 1987 :)

Merci, correction apportée ci-dessus. Concert inoubliable.

[Elmore Trane]

You're welcome. Oui, soirée inoubliable.

[Paxi]

Espace archives : album photo
https://livingjazzarchives.org/archives ... o-gallery/

[dexdex]

Il aurait eu 73 ans aujourd’hui. Missing.

[dexdex]

74 hier. Still missing.

[dexdex]

Aaron Neville. On aime, un peu, beaucoup, ou pas trop. Mais quand ça passe à la radio, on laisse, ça va. Et, soudain … à 1:58

Une nouvelle fois, un saxophoniste anonyme, au talent infini, est autorisé à s’exprimer sur un demi chorus et l’outro. La classe.

En passant: il y a aussi Grady Tate, Ron Carter et quelques autres pointures.