Plus près de nous, lors d’une révision de mon MkVII, le luthier, un peu confus, me prête un YTS-62, « désolé, pas de Selmer ». T’inquiètes, ça ira.

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Quoi ?! Une telle facilité d’émission dans le grave, c’est possible ? Je ne parle même pas du clétage hyper confortable, de la justesse, de l’homogénéité. Ma visite chez Yam 10 ans plus tôt me saute à la figure. Voilà le résultat.
Ma loyauté sentimentale envers Selmer, dont je suis fan notamment de l’alto SA-II, m’a fait persister au MkVII, qui, en petite formation, est un super biniou.
Mais, 2021 sera l’année du registre grave.
1. Je croise un YTS-62 bradé sur une petite annonce, bienvenue. —> vidéo ci-dessus.
2. Je continue à fignoler le MkVII, pour améliorer l’émission des 4 maudites notes graves. Essai d’autres bocaux (bocals ? Chacals ?), passage chez notre sorcier local (Paul Devins, à recommmander)
3. Exploration de becs, sport que je m’étais interdit depuis … 8 ans, avec succès. Ça va se jouer entre Link STM et V16, ces derniers étants remarquablement faciles en émission, et très compatibles avec les anches Carbon
4. Suite ? Un peu selon les résultats.
Je garde ou pas le Yam, peut-être que pour le big band.
Le MkVII va rester, il est invendable, et appartient désormais à mon petit univers.
Autres éventualités: MkVI, S-III ou Ref36, selon opportunités, mais budget difficile à justifier pour un loisir, mon âge et la raréfaction des animations payantes ayant réduit la possibilité d’amortir de telles dépenses.
Vintage américain ? Non. Not my cup of tea.
Autre asiatique ? Et pourquoi faire ?