Bocal de ténor Référence 36 ou de Référence 54 sur un Super action II
Posté : 17 avr. 2025 20:48
Je pose beaucoup (trop ?) de questions diverses et variées pour profiter de l'expérience de tous et toutes et tenter de nouvelles expériences sonores quel que soit mon actuel niveau !
Je sais qu'il y a déjà pas mal de sujets sur les bocaux, j'ai relu vos remarques attentivement. J'en avais moi-même lancé un, mais pas sur la même problématique.
J'aimerais savoir si des membres du forum ont essayé d'associer successivement un bocal de ténor référence 36 et un bocal de référence 54 avec un Selmer SA II.
En dehors de la courbure basse des deux modèles, confortable en jeu debout selon ma morphologie et pour la lecture des partitions, quel est votre ressenti : émission plus ou moins facile dans tout le registre, projection, timbre, son plus ou moins gros ou centré selon les deux bocaux 36 et 54 ?
Comme le dit Pat Morisson, un bocal peut être recintré par un bon luthier, mais je n'en connais aucun qui veuille le faire dans mon far ouest armoricain, et en supposant aussi qu'un bocal recintré conserverait à peu près le même son dans le meilleur des cas.
D'ailleurs, sur le site Selmer, il est écrit qu'un "angulation haute donne un son plus direct" (c'est le cas pour tous les nouveaux modèles de ténor Selmer, de l'Axos au Suprême en passant par le Signature). Vrai ou faux ?
Je me doute bien qu'un bocal ne transformera jamais un SA II en SBA ou en Mark VI, mais les dix premiers centimètres du biniou après le bec sont certainement importants et j'aimerais savoir si ça peut changer la donne selon les types et en quoi, mise à part la position du soufflant. Si ça peut être un gain ou l'inverse.
J'ai essayé un bocal chinois, très joli d'aspect, de style SBA et avec la courbure qui va bien. Mais en termes de son, il n'y a pas photo avec le bocal Selmer d'origine : pour la quincaillerie asiatique, son détimbré et instable, "fuyant" dans le grave sous le sol pour rendre un gloubi boulga dans l'articulation des notes, expression des nuances plus difficile. Je suis passé à autre chose après l'essai. J'ignore si la cause est la nature de l'alliage, la conception ou la fabrication. Un youtubeur intéressé matériellement (pléonasme ?) parlerait certainement de "free blowing" pour mettre du beurre dans sa soupe.
En bref, l'idéal pour moi serai un bocal Selmer bon et beau - et pas trop cher ;) - d'occasion. Avant d'être en situation d'essayer, je me renseigne donc.
Merci d'avance pour vos éventuelles réponses.
Je sais qu'il y a déjà pas mal de sujets sur les bocaux, j'ai relu vos remarques attentivement. J'en avais moi-même lancé un, mais pas sur la même problématique.
J'aimerais savoir si des membres du forum ont essayé d'associer successivement un bocal de ténor référence 36 et un bocal de référence 54 avec un Selmer SA II.
En dehors de la courbure basse des deux modèles, confortable en jeu debout selon ma morphologie et pour la lecture des partitions, quel est votre ressenti : émission plus ou moins facile dans tout le registre, projection, timbre, son plus ou moins gros ou centré selon les deux bocaux 36 et 54 ?
Comme le dit Pat Morisson, un bocal peut être recintré par un bon luthier, mais je n'en connais aucun qui veuille le faire dans mon far ouest armoricain, et en supposant aussi qu'un bocal recintré conserverait à peu près le même son dans le meilleur des cas.
D'ailleurs, sur le site Selmer, il est écrit qu'un "angulation haute donne un son plus direct" (c'est le cas pour tous les nouveaux modèles de ténor Selmer, de l'Axos au Suprême en passant par le Signature). Vrai ou faux ?
Je me doute bien qu'un bocal ne transformera jamais un SA II en SBA ou en Mark VI, mais les dix premiers centimètres du biniou après le bec sont certainement importants et j'aimerais savoir si ça peut changer la donne selon les types et en quoi, mise à part la position du soufflant. Si ça peut être un gain ou l'inverse.
J'ai essayé un bocal chinois, très joli d'aspect, de style SBA et avec la courbure qui va bien. Mais en termes de son, il n'y a pas photo avec le bocal Selmer d'origine : pour la quincaillerie asiatique, son détimbré et instable, "fuyant" dans le grave sous le sol pour rendre un gloubi boulga dans l'articulation des notes, expression des nuances plus difficile. Je suis passé à autre chose après l'essai. J'ignore si la cause est la nature de l'alliage, la conception ou la fabrication. Un youtubeur intéressé matériellement (pléonasme ?) parlerait certainement de "free blowing" pour mettre du beurre dans sa soupe.
En bref, l'idéal pour moi serai un bocal Selmer bon et beau - et pas trop cher ;) - d'occasion. Avant d'être en situation d'essayer, je me renseigne donc.
Merci d'avance pour vos éventuelles réponses.